Après l’ère Daniel Craig qui lui a offert une nouvelle popularité et des recettes impressionnantes, l’univers James Bond doit maintenant trouver un nouveau souffle et un nouveau rapport du média anglais THE SUN pourrait bien renouveler la saga… tout en étant assez discutable dans l’exécution.
Un gladiateur pour 007
Dans cet article, il est indiqué que Paul Mescal (photo ci-contre), le futur premier rôle de GLADIATOR 2, serait en lice pour jouer la version jeune de 007. L’acteur de 27 ans que l’on a pu voir cette année dans AFTERSUN
correspond aux indications laissées il y a quelques mois sur la volonté de rajeunir l’agent Bond pour l’emmener dans une direction nouvelle encore jamais empruntée par la franchise. L’autre grand favori reste toujours Aaron Taylor-Johnson qui, en interview, laisse toujours le mystère quant à son implication dans ce prochain opus. Mescal est un jeune comédien prometteur, mais ce serait un sacré pari de l’engager pour jouer Bond. Un peu comme l’était, dans un certain sens, l’engagement de Craig. GLADIATOR 2 va forcément lui offrir une nouvelle aura, mais elle l’expose aussi davantage aux critiques.
Renouveler l’univers
THE SUN affirme donc que le prochain JAMES BOND jouera sur deux tableaux, mais dans quelle mesure ? Cette théorie semble quand même assez farfelue, mais est-elle vraiment impossible ? Le mystère qui entoure de ce nouvel épisode semble toujours plus épais à mesure que l’on avance, tant celui-ci possède d’enjeux. Renouveler 007 après Craig n’est pas chose aisée, d’autant plus dans un monde qui évolue et qui ne voudra plus forcément d’un personnage similaire à ses précédentes incarnations. Offrir deux temporalités est un moyen d’insérer un second souffle à l’univers, mais cette direction serait tout de même étonnante. Je reste persuadé que les décisions officielles seront connues d’ici peu : MOURIR PEUT ATTENDRE est sorti il y a deux ans déjà et le studio ne peut se passer d’une saga aussi populaire que James Bond durant plusieurs années encore. Ce qui sera déjà le cas puisqu’un long-métrage de cette ampleur met déjà deux ans à sortir de son annonce à son exploitation en salles.
