Les brèves de grands films : The Majestic

Cette rubrique s’intéresse, chaque semaine, à un grand film (et pas toujours les plus connus) en résumant en quelques lignes sa petite histoire. En somme, une brève, un texte court et une information concise !

THE MAJESTIC réalisé par Frank Darabont (2001)

Le pitch : En 1951, le scénariste Peter Appleton a rejoint les grands noms d’Hollywood. Son script de Les Pirates du Sahara vient d’être porté à l’écran et il se réjouit du résultat. Cependant, Peter est accusé d’être communiste. Celui-ci n’a rien à se reprocher et ne comprend pas les accusations portées contre lui. Ivre, il roule vers une autre ville avec l’idée d’y commencer une nouvelle vie. Mais Peter est victime d’un accident de voiture. Il est transporté de toute urgence dans la petite bourgade de Lawson pour y recevoir les premiers soins. A son réveil, il ne se rappelle plus de rien. Harry Trimble, un habitant de Lawson, le voit et croit reconnaître son fils Luke, parti à la guerre quelques années plus tôt. Peter n’a aucun souvenir de Harry, mais il l’aide malgré tout à restaurer un petit cinéma de quartier laissé à l’abandon. Ce dernier s’appelle The Majestic.

Autour du film : Avec THE MAJESTIC, Frank Darabont a voulu rendre hommage au cinéma hollywoodien des années 40-50 et notamment des films idéalistes comme LA VIE EST BELLE de Frank Capra où l’imaginaire rejoint la réalité.

La réplique : « On va le prendre pour un homme qu’il n’a même pas connu. ».

Le film : Après LES EVADES et LA LIGNE VERTE, Frank Darabont voyage dans le temps avec ce sublime drame porté par un Jim Carrey royal qui a surpris son monde avec ce rôle. À sa sortie, les critiques n’ont pas été tendres avec le long-métrage, mais son aspect artificiel n’est qu’un leurre : THE MAJESTIC est un grand film sur le temps qui passe et une déclaration d’amour à un genre de cinéma qui tend à disparaître de plus en plus.

EQUIPE TECHNIQUE

Casting : Jim Carrey – Laurie Holden – Martin Landau – Bob Balaban – Brian Howe

Costumes : Karyn Wagner

Montage : Jim Page

Photographie : David Tattersall

Scénario : Michael Sloane

Réalisation : Frank Darabont

Laisser un commentaire