Cette rubrique s’intéresse, chaque semaine, à un grand film (et pas toujours les plus connus) en résumant en quelques lignes sa petite histoire. En somme, une brève, un texte court et une information concise !
Le pitch : Krank, un étrange personnage vit entouré de clones et d’autres personnages encore plus étranges sur une plate-forme en mer perdue dans le brouillard. Krank, doit, pour ne pas vieillir trop vite, voler les rêves des enfants. C’est pour cela qu’il les enlève de la cité portuaire.
Autour du film : Le film de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro est révolutionnaire à l’époque. Révolutionnaire par le système d’effets visuels mis en place. Avec son budget de 90 millions de Francs (record pour l’époque), LA CITE DES ENFANTS PERDUS est l’un des films qui contient le plus d’images de synthèse lors de sa sortie en 1995.

LA réplique : “Silence, légume !”
Le film : Entrer dans LA CITE DES ENFANTS PERDUS, c’est entrer dans un monde fou, rempli d’influences diverses, porté par une identité steampunk somptueuse. C’est presque un vestige du passé, ces années où le cinéma français tentait des projets de dingue afin de proposer aux spectateurs une aventure hors du commun et radicalement différente.
EQUIPE TECHNIQUE
Casting : Ron Perlman – Daniel Emilfork – Judith Vittet – Dominique Pinon – Jean-Claude Dreyfus
Photographie : Darius Khondji
Décors : Jean Rabasse
Musique : Angelo Badalamenti
Scénario : Gilles Adrien – Marc Caro – Jean-Pierre Jeunet
Production : Claudie Ossard
Réalisation : Jean-Pierre Jeunet – Marc Caro
LA CITE DES ENFANTS PERDUS (1995) – 1h52