Les 15 meilleures répliques écrites par Quentin Tarantino

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On le sait, Quentin Tarantino est un dialoguiste hors pair qui aura su construire de longues séquences de dialogues absolument incroyables avec, en point d’orgue, la longue introduction de INGLOURIOUS BASTERDS, sommet de tension et de parfaite maîtrise linguistique. 

Replongeons dans l’écriture du cinéaste avec 15 répliques inoubliables. 

15 – « Dis « Auf Wiedersehen » à tes couilles ! »

Sergent Stiglitz dans INGLOURIOUS BASTERDS.

14 – « Si tu me flingues en rêve, tu me demandes pardon en te réveillant »

Mr.White dans RESERVOIR DOGS.

13 – « Au prochain regard de travers, je te donne une bonne raison de ne pas m’aimer »

Django dans DJANGO UNCHAINED.

12 – « Je m’appelle Buck… ça rime avec fuck ! »

Buck dans PULP FICTION.

11 – « – Et toi, t’as tué du monde ?

         – Juste des flics, pas des vraies personnes, juste des flics. »

Mr Pink et Mr White dans RESERVOIR DOGS.

10 – « L’alcool est un lubrifiant pour dégripper les rencontres qu’on peut faire dans un bar. »

Mike dans BOULEVARD DE LA MORT.

9 – « Nous, on fait dans le massacre de nazis et crois-moi, ces derniers temps l’activité est en plein boom ! »

Raine dans INGLOURIOUS BASTERDS.

8 – « – Vous savez d’où il vient ce fric, Max, il s’agit pas des économies de toute une vie. Ça manquerait jamais à personne.

          – 500 000 dollars, ça finit toujours par manquer à quelqu’un. » Jackie Brown et Max Cherry dans JACKIE BROWN.

7 –  » – Il existe d’autres moyens de se défendre en cas d’agression. Y a les bombes au poivre. 

          – Si un enfoiré me saute dessus pour me violer, j’ai pas juste envie de le faire éternuer, j’ai envie de le dessouder direct. »

Abernathy et Kim dans BOULEVARD DE LA MORT.

6 – « Un névrosé peut pas être un professionnel. Je déteste bosser avec des psychopathes. On sait jamais ce qu’il y a dans la tête de ces connards. »

Mr. White dans RESERVOIR DOGS.

5 –  » – Putain le con, j’ai buté Marvin !

         – Mais pourquoi t’as fait ça, putain ? 

         – Mais je sais pas, c’est un accident ! »

Vincent et Jules dans PULP FICTION.

4 – « J‘adore les rumeurs. Les faits sont parfois trompeurs alors que les rumeurs, vraies ou fausses, sont souvent révélatrices. »

Hans Landa dans INGLOURIOUS BASTERDS.

3 –  » Et le v’là qui se remet à supplier. Mais ce coup-ci, c’était plus que je le laisse rentrer au pays. Non, il savait qu’il ne le reverrait plus, son pays. Il me suppliait pas non plus de le laisser vivre. Il savait que ça faisait longtemps que c’était foutu. La seule chose qu’il me demandait, c’était… une couverture. Soyez pas trop sévère avec votre garçon, général. Je vous garantis que vous avez jamais eu aussi froid que votre gars, ce jour-là. Vous seriez surpris de savoir ce qu’un homme aussi gelé que ça est capable de faire pour une couverture. Vous voulez savoir ce qu’il a fait, Chester ? J’ai sorti de mon froc ma grosse bite noire de moricaud et je l’ai obligé à venir vers elle à quatre pattes dans la neige. Et alors, j’ai empoigné une bonne touffe de cheveux au fond de son crâne, et j’y ai collé mon épaisse biroute toute noire au fond de son sale gosier ! Et elle était gorgée de sang, alors elle était bien chaude. Un peu, mon neveu, qu’elle était bien chaude ! Alors Chester Charles Smithers a sucé ma grosse queue noire bien chaude aussi longtemps qu’il a pu. Vous voyez le tableau, ça y est ? Votre petit gars, un braquemard noir dans la bouche, tout pleurant, tremblotant. Moi qui me bidonne ! Et lui qui pige pas ! Mais toi t’as tout pigé, hein Sandy ? Je lui ai pas donné sa couverture, à ton fils. Malgré tout ce qu’il a fait, et il a fait tout ce que je disais… pas de couverture. C’était rien qu’une promesse de menteur sans cœur, cette couverture. Un peu comme ces uniformes que le Nord a fourni à ces cavaliers noirs et dont tu as décidé de ne pas reconnaître la légitimité. »

Marquis Warren dans LES HUIT SALOPARDS.

2 – « Jules : Oh, là mon pote je t’arrête, tu déconnes. Masser les pieds et bouffer la chatte d’une gonzesse ça fait deux.
 

Vincent : Qui a dit le contraire ! Je te dis que c’est du même ordre ! 
 

Jules : Ah tu trouves que c’est du même ordre toi… Écoute, peut-être que ta méthode de massage diffère de la mienne, mais je t’assure que toucher les pieds d’une fille et lui glisser la langue dans le sanctuaire des sanctuaires c’est vraiment pas du même ordre ! Et pour soutenir que c’est pareil, faut vraiment être borné. C’est vrai ! Masser les pieds c’est rien du tout ! 
 

Vincent : T’en fais souvent toi des massages ? 
 

Jules : C’est une blague ! Tu me demandes si je fais des massages ? À moi qui suis un vrai spécialiste ?  
 

Vincent : C’est nouveau ça ? 
 

Jules : Qu’est-ce que tu crois j’ai une méthode très étudiée tu sais? Jamais de chatouilles, ni rien. 
 

Vincent : Et tu pourrais faire ça avec les pieds d’un homme ? 

Jules : Va chier. »  

Jules et Vincent dans PULP FICTION.

1 –  » Vincent : Tu veux du bacon ?

Jules : Non, merci. C’est du porc.

Vincent : Pourquoi, t’es juif ? 

Jules : Nan, j’ai horreur du cochon. Ça craint, c’est tout.

Vincent : Pourquoi ?

Jules : Parce que c’est dégueulasse un porc. Je mange pas ce genre d’animal. 

Vincent : Mais le bacon c’est délicieux. Un bon jambon c’est délicieux.

Jules : Ouais. Les rats ont peut-être le goût de crème caramel mais comme j’ai pas l’intention d’en manger, je pourrais jamais le savoir. Et puis les cochons, ils se roulent sans arrêt dans leur merde, et même qu’ils la bouffent. C’est dégueulasse, faut être con pour manger ses excréments.

Vincent : Et ben, et les chiens ? Les chiens, ils les mangent eux.

Jules : Je mange pas de chien non plus.

Vincent : Tu penses que le chien est un animal aussi sale que le porc ? 

Jules : Je dirais pas que c’est un animal aussi sale que le porc mais il n’empêche qu’il est dégueulasse. Seulement, le chien a de la personnalité. Et la personnalité, ça change tout.

Vincent : Si je comprends bien, dans ta logique, un porc qui aurait de la personnalité ne serait plus aussi dégueulasse qu’avant. C’est ça le truc ? 

Jules : Ouais, mais pour ça il faudrait qu’il ait un charme fou ton porc. Il faudrait qu’il possède dix fois plus de charme que le cochon de Walt Disney. »  

Vincent et Jules dans PULP FICTION

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