Désormais devenue une trilogie, l’histoire de Oss 117 est parsemée de répliques cultes débitées par un Jean Dujardin en grande forme et écrites avec soin par le scénariste Jean-François Halin. En voici quinze sélectionnées par mes soins (mais vous pouvez tout à fait en rajouter !).
15. « Vous avez bien une amicale des anciens nazis ? Un club ? Une association peut-être ? » OSS 117 – RIO NE REPOND PLUS
14. « – Mais enfin Armand, le général de Gaulle n’a-t-il pas dit que toute la France avait été résistante ?
– En effet, il l’a dit…il l’a dit… » OSS 117 – RIO NE REPOND PLUS
13. « C’est marrant, c’est toujours les nazis qui ont le mauvais rôle. Nous sommes en 1955, herr Bramard, on peut avoir une deuxième chance, merci. » OSS 117 – LE CAIRE, NID D’ESPIONS
12. « À l’occasion, je vous mettrai un petit coup de polish. » OSS 117 – LE CAIRE, NID D’ESPIONS
11. « – Avant de partir, sale espion, fais-moi l’amour !
– Non, je ne crois pas non.
– Pourquoi ?
– Pas envie. » OSS 117 – LE CAIRE, NID D’ESPIONS
10. « – Je n’ai jamais pu refuser quoi que ce soit à une brune aux yeux marrons.
– Et si j’étais blond aux yeux bleus ?
– Cela ne changerait rien, vous êtes mon type de femme Larmina…
– Et si j’étais naine et myope ?
– Et bien je ne vous laisserai pas conduire. Ça n’a pas de sens.
9. « – La famille royale est peut-être dégénérée, mais j’peux vous assurer que la princesse Al Tarouk vaut le détour. J’peux vous ire que quand elle s’affaire elle laisse son sang royal au vestiaire ! Mais elle gueule mon vieux ! On dirait une poissonnière de Ménilmontant ! » OSS 117 – LE CAIRE, NID D’ESPIONS
8. « – Une dictature, c’est quand les gens sont communistes, déjà. Qu’ils ont froid, avec des chapeaux gris et des chaussures à fermeture éclair. C’est ça, une dictature, Dolores.
– D’accord. Et comment vous appelez un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l’information est contrôlée par l’Etat ?
– J’appelle ça la France, mademoiselle. Et pas n’importe laquelle. La France du général de Gaulle. »
OSS 117, RIO NE REPOND PLUS
7. « J’aime quand on m’enduit d’huile. »
OSS 117, LE CAIRE NID D’ESPIONS
6. « – J’ai été réveillé par un homme qui hurlait à la mort du haut de cette tour. J’ai dû le faire taire.
– Quoi ? Vous avez fait taire le muezzin !
– Ah ! C’était donc ça tout ce tintouin. »
OSS 117, LE CAIRE NID D’ESPIONS
5. « – Rechercher un nazi avec des juifs, quelle drôle d’idée… – Et pourquoi donc ?
– Mais enfin, il va les reconnaître.
– Comment ça ?
– Ben, je sais pas… Le nez, déjà. Les oreilles, les doigts…les yeux. »
OSS 117, RIO NE REPOND PLUS
4. « – Vous confondez les juifs et les musulmans !
– Vous jouez sur les mots, Dolores. »
OSS 117, RIO NE REPOND PLUS
3. « – Je hais mon père, c’est un nazi !
– Non mais oh ! Comment tu parles de ton père ! Qui c’est qui t’as nourri ? Moi jamais je parlerais de mon père comme ça, jamais ! Moi mon père il était charron. Et j’peux te dire qu’ça filait doux ! Ça la mère de la Bath elle mouftait pas ! Et les enfants non plus d’ailleurs ! »
OSS 117, RIO NE REPOND PLUS
2. « – L’idée est que nous travaillions d’égal à égal.
– On en reparlera quand il faudra porter quelques chose de lourd. »
OSS 117, RIO NE REPOND PLUS
1. « Comment est votre blanquette ? »
OSS 117, LE CAIRE, NID D’ESPIONS